Ils sont là. Ils font partie des sommités de l’art contemporain africain. Ils sont à Casablanca les artistes africains d’ici et de la diaspora dont les œuvres inondent essentiellement le reste du monde. Ils sont dans la capitale économique marocaine grâce à la Fondation pour le développement de la culture contemporaine africaine (Fdcca) de Son Altesse le Prince Moulay Ismail.
Les 18, 19 et 20 juin se tient à Casablanca une exposition d’art plastique dénommée « Prête-moi ton rêve ». Une initiative de la Fondation pour le développement de la culture contemporaine africaine (Fdcca) qui se veut itinérante avec la participation d’éminents acteurs de l’art pour des débats assez relevés.
Destination touristique émergeante, le Bénin est un pays où foisonnent l’art et les espaces de monstration des œuvres. Des échanges s’opèrent dans le pays avec une dynamique mise en place par des créateurs à succès. Mais, est-ce suffisant pour conclure de l’existence de marché de l’art ? Les avis sont divergents.
Au centre culturel Artisttik Africa à Cotonou se déroule depuis ce vendredi 15 mars une saison théâtrale ouverte par le spectacle ‘’Négrititudes’’. Une pièce écrite et mise en scène par le dramaturge Ousmane Alédji. C’est une adaptation de plusieurs textes d’Aimé Césaire avec, en toile de fond, sa conception de la négritude.
Huit artistes peintres chinois : LI Chuan, WANG Zhao, CHEN Cheng, ZHANG Chundabao, WANG Chaogang, LIU Kai, FENG Bin et FU Xuming. Ils ont parcouru l’Afrique de l’Est à l’Ouest, pinceaux en mains.
« Eteignez les lumières des téléphones portables ! » La troisième fois que le conducteur de la grande barque motorisée lança rudement cette phrase impérative, cela sonna dans ma tête comme la sonnerie du phare de Cotonou qui, aux environs de quatorze heures, par le passé, alertait toute la ville, depuis la zone portuaire, de l’approche de l’heure de service de l’après-midi.
Mélange de couleurs, de symboles, de symphonies, de rythmes et de rimes. Diversité de menus, de goûts et d’assiettes. Une sublime occasion de découverte de la gastronomie chinoise. Pendant quarante-huit heures, les neuf et dix février, l’esplanade intérieure du stade de l’Amitié Général Mathieu Kérékou a ainsi arboré une mixtion de senteur hautement chinoise. Le décor est éminemment rouge. Rouge d’objets, rouge de t-shirts, rouge d’accoutrements scéniques…
« Le lotus blanc est invincible ! » Tel un slogan voire un cri de guerre, cette courte phrase a rythmé le film déclencheur du cinéma chinois sur la place publique de Ganvié. Grâce à Grangan Production, la cité lacustre a connu une soirée cinématographique exceptionnelle le mercredi 06 février.
L’embarcadère grouille de monde. On dirait l’emplacement d’un marché flottant. Mais pas d’échange apparent de produits de pêche contre de l’argent. Des enfants et adultes, majoritairement des femmes, sont dans des pirogues en partance pour leur habitat quotidien. Ganvié, la cité lacustre qualifiée de Vénise du Bénin.
Le 05 Février, jour de l’an 2019 en Chine, démarre une série de projections de films chinois à travers des villes et campagnes béninoises. Au total, quinze films réalisés et produits par la Chine que le pays offre gracieusement aux populations béninoises. Il s’agit de documentaires, de fictions, d’actions, de romances, de comédies, de courts et de longs métrages qui seront projetés soit en plein air soit en salle selon les localités d’accueil.