L’Eté est une saison au cours de laquelle des groupes artistiques béninois tournent le plus souvent dans des festivals en Europe. Gaston Eguédji, acteur culturel majeur, apprécie cette opportunité qui concourt à positionner le patrimoine culturel béninois sur le marché mondial tous les ans. Sans langue de bois, il procède à une analyse minutieuse de la situation.
Deux semaines d’atelier sur les techniques et accessoires de la danse Bata à Cotonou. Cofinancée par le Fonds des arts et de la culture et le Fonds du développement de l’artisanat, cette formation a été conduite par le maître chorégraphe Alladé Koffi Adolphe.
L’hôtel d’entreprise Aréolis auréolé d’un présent prestigieux. A la responsable des lieux est décerné un trophée en bois d’ébène, le trophée Ôla. L’initiative est de l’association Ilé ya Africa qui célèbre ainsi toute femme qui s’investit dans la promotion des arts pour le développement.
Elle est jeune, entrepreneure, fondatrice d’un centre d’affaires, auteure d’un ouvrage, mariée, dévouée à son boulot… Mme Nathalie Daouda est la nominée au trophée Ola que décerne l’association Ilé ya Africa aux femmes pétries de valeur. La distinction lui sera remise ce dimanche 03 avril 2022 après-midi dans l’espace de ‘’coworking’’ à Cotonou.
Jules Romain Djihounouck, un illuminé de la danse contemporaine, a séduit à Walô Dance Center au Bénin. Il est arrivé de Saint-Louis au Sénégal pour la restitution de la formation en danse organisée par l’association Walô et la fondation hollandaise Le Grand Cru les 19 et 25 mars.
‘’Danse et droits humains’’ est le thème autour duquel la compagnie Walô a créé quatre spectacles de danse, au terme de la formation de treize danseurs initiée par la compagnie Walô en partenariat avec la fondation hollandaise Le Grand Cru, sur financement du Ministère des Affaires étrangères des Pays-Bas porté par la Nuffic. La restitution des créations s’est faite le 19 mars à Walô Dance Center.
A l’entrée du grand hall du Palais de la culture, elle s’impose à la vue, majestueuse, comme une cantatrice de belle taille sur le parvis de l’église après sa consécration nuptiale. C’est le ‘’Joker’’, une œuvre du styliste performeur Kamissoko Ibrahim de la Côte d’Ivoire.
Groupe aux percussions singulières, Tambour du Burundi bouillonne au douzième Marché des arts du spectacle d’Abidjan (Masa), en prélude au défilé de mode. Impressionnant.
‘’Exponentielle’’ est le nouveau concept de danse que le chorégraphe ivoirien Sanga Ouattara a amené à cette 12ème édition du Marché des arts du spectacle d’Abidjan (Masa). Il malaxe formules algébriques et géométriques avec l’ondulation de son corps. Très contemporain.
Travailler les muscles du bras, de l’omoplate, de la plante des pieds. S’étirer en se maintenant sur les orteils, les bras levés vers le ciel et le plus loin possible. Feri de Geus, maître chorégraphe hollandais, remet à niveau des danseurs au Bénin.